De violentes intempéries cet été

Année après année, les vignobles français sont, plus ou moins touchés par des intempéries. Parfois sévit la sécheresse ou la pluie. Mais ce que craignent le plus les viticulteurs, c’est la grêle, qui balaie, en quelques instants, les efforts de toute une année.

Les intempéries touchent les vignes
Les intempéries touchent les vignes

Les viticulteurs français sinistrés.

Début juin, 1000 hectares dans la région de Bordeaux sont touchés. A la fin juin, se furent les vignobles de la Côte de Beaune qui furent massacrés. Dans les vignes de Pommard, Volnay, Meursault, les dégâts sont de l’ordre de 50 à 90%. Début juillet, dans le Médoc, dans la région de Cognac mais aussi dans l’Aude, certaines vignes en fleurs, ont aussi été victimes de la grêle.

 

Comment lutter contre ces phénomènes météorologiques ?

Souvent, le soleil sèche les vignes et aide à la cicatrisation des raisins restants. Les viticulteurs doivent réagir vite. Il faut traiter pour lutter contre les maladies qui vont se développer. Le botrylis achève souvent de ruiner les récoltes. Dans les régions sinistrées, il semble nécessaire que l’Etat autorise les viticulteurs à acheter des vendanges, afin que ces viticulteurs puissent vinifier.

L’Etat doit aussi apporter une aide financière suffisamment importante pour aider les viticulteurs. En 2013, elle fut seulement de 5 millions, ce qui représentait 3% des pertes engendrées par la grêle. Pourquoi ne pas aider les viticulteurs à acheter des filets anti-grêle, même si on connaît leurs limites. Il faut aussi subventionner l’installation de générateurs à iode d’argent, qui diminuent le nombre et la taille des grêlons.Il ne faut pas perdre de vue que de nombreux viticulteurs sont partiellement ou pas assurés. Les assurances sont trop chères.

Des vignes françaises en Afrique

Paysage inattendu dans le sud de l’Éthiopie où perchés à 1600m d’altitude, s’étendent 160 hectares de Cépages.


C’est dans ce pays synonyme de sècheresse et de famine aux yeux du monde, que le groupe Français Castel a installé ses vignes depuis 2007 et tirera sa première cuvée cette année.

production de vin
Première récolte en Éthiopie

C’est Meles Zenawi, premier ministre du pays à l’époque, qui a demandé au groupe Français n°3 mondial du vin, de venir produire sur ses terres un vin Éthiopien de qualité qui serait destiné à l’exportation.
Souhaitant attirer les investisseurs étrangers afin d’industrialiser l’Éthiopie, tout en permettant au pays un revenu intermédiaire d’ici 2025, Meles Zenawi pensait qu’un vin « made in Éthiopie » était idéal pour améliorer l’image du pays.

Même si la tradition vinicole en Éthiopie remonte à la première moitié du XXe siècle, Awash Winery produit des vins plutôt sirupeux, adaptés aux goûts locaux, mais bien loin des normes œnologiques mondiales.
Aussi, malgré une bureaucratie pesante, des infrastructures limitées et une faible sécurité pour les investisseurs, Castel s’est lancé dans l’aventure vinicole en Éthiopie, en investissant en 2007 20millions d’euros dans le premier vignoble à capital étranger.

Plantées à Ziway, ces vignes importées de France profitent de conditions favorables, avec un sol contenant beaucoup de sable et des saisons de pluie courtes. De plus la main d’œuvre y est abondante et bon marché.
Considérant ses premiers bénéfices pour 2016, le groupe Français projette déjà d’agrandir le vignoble pour viser les trois millions de bouteilles annuelles.

Castel produit une marque haut-de-gamme dénommée Rift Valley et un vin d’assemblage, l’Acacia.

 

Le financement participatif chamboule le monde du vin

Le financement participatif investit désormais le monde du vin. Ce mode de financement consiste à obtenir des fonds de la part de particuliers afin de financer des projets, et de passer outre la frilosité des banquiers.

Il peut s’agir de l’achat d’hectares de vignes supplémentaires, du maintien de la culture de vignes délaissées par leurs propriétaires, de la création d’une application œnologique ou d’un événement autour du vin.

vin
Crowdfunding dans les vignesv

Voici quelques exemples de ces réalisations, qui peuvent soit utiliser des plateformes généralistes telles que KissKissBankBank, ou des plateformes spécialisées dans le domaine viticole, telles que mesvignes.com ou Terra Hominis.

Une dégustation en musique et en chorégraphie a ainsi été organisée autour du Muscadet par l’association Les Vignes de Nantes, en juin, grâce à l’argent récolté auprès de financeurs particuliers. Ceux-ci ont pu se voir récompensés par des bouteilles ou des verres sérigraphies « Muscadet ».

Lorsque Christelle et Michaël Barthes, jeunes vignerons du Minervois, ont eu besoin d’argent pour rénover leur cave, ils ont fait appel à ce système, face au refus des banques. En échange d’une contrepartie, une cuvée spéciale « Une autre histoire », ils ont demandé aux contributeurs intéressés de financer une première cuve. De nombreux gens ont répondu à l’appel.

En Gironde, Ludovic Barthe, un vigneron dont l’exploitation avait été détruite à 95% par la grêle d’août 2013 (soit une perte de 350 000 €), a mis en place un système de financement participatif, la Bireau Box, pour sauver son exploitation. De nombreux souscripteurs ont répondu à son appel, pour lui permettre, dans un premier temps, l’achat de raisin blanc destiné à produire son vin en biodynamie.

Le développement du financement participatif ne devra pas, pour prendre pleinement son essor, se limiter à une simple transaction. Il est important que cette démarche permette la création d’une véritable communauté autour d’un domaine, fondée sur un échange humain entre le vigneron et ses sociétaires. Elle nécessite en outre un grand travail d’animation pour attirer et convaincre les particuliers de souscrire aux projets présentés. L’occasion sans doute de mieux faire connaître des domaines confidentiels ?

Un nouveau décret sur l’alcool au travail

Jusqu’à maintenant, la consommation d’alcool dans les entreprises était permise pour certaines occasions. Toutefois, un alinéa a été ajouté au décret qui met désormais un terme à ces pratiques.

L’alcool peut porter atteinte à la sécurité

consommation d'alcoolLes salariés ont l’opportunité de consommer lors des fameux « pots » diverses boissons alcoolisées autorisées par le Code du travail. Il est donc possible de boire de la bière, du poiré ainsi que du vin, mais le 3 juillet dernier, un décret a été publié dans le Journal officiel et il met un terme à ces pratiques. Une précision a été apportée par le ministère et elle stipule que l’alcool au travail peut « porter atteinte à la sécurité et la santé physique et mentale des travailleurs ».

En effet, les chiffres relayés par l’institut Gustave-Roussy montrent que 49 000 personnes meurent chaque année en France à cause des boissons alcoolisées.

Les employeurs peuvent restreindre ou interdire la consommation

Par conséquent, les employeurs ont la possibilité grâce à ce décret de prendre des mesures envers les consommateurs d’alcool. Deux possibilités sont envisagées pour le personnel puisque l’entreprise peut seulement restreindre la consommation ou l’interdire totalement. Pour tenter d’expliquer le changement de l’article R4228-20, le gouvernement de François Hollande a expliqué que « l’alcool est la substance psycho active la plus consommée » sur le sol français.

Les salariés sont donc invités à prendre connaissance d’une éventuelle note de service ou du nouveau règlement intérieur. En effet, l’employeur pourra désormais appliquer selon sa volonté les conditions mises en place par François Rebsamen, le ministre du Travail.

La consommation de spiritueux en baisse

C’est bien connu : nous, les Français, n’avons plus de leçons à recevoir en matière d’élaboration de spiritueux ! Premier pays viticole au monde, la France produit les liquides les plus prisés au monde. Toutefois, il semblerait que la consommation française soit en perte de vitesse ces derniers temps. Retour sur des habitudes de consommation en plein bouleversement.

Quand la sobriété modère l’excès

spiritueux
Consommation en baisse

Sommes-nous devenus des carmélites ? Où est passé le Français bon vivant, ripailleur et ne refusant pas une bonne rasade ? En réalité, les habitudes en matière d’achat d’alcool ont changé depuis dix ans. Les Français consomment moins d’alcool. Selon un sondage réalisé en 2009, ils seraient 45% à ne boire qu’une fois par semaine. En 2000, ce chiffre était de 22% et la tendance à l’augmentation se confirme au fil des ans. Par ailleurs, les femmes conservent toujours leur réputation de sobriété modèle : elles sont en moyenne 31% à goûter un spiritueux au moins une fois par semaine quand les hommes se déclarent 47% à le faire. Ces arguments tendent à montrer que les Français se tournent de plus en plus vers une consommation occasionnelle. Les facteurs en sont multiples : les campagnes de prévention, les risques pour la santé, les tarifs de la boisson et également une certaine embellie dans les esprit de la notion de sobriété.

La qualité prime

On constate aisément que la baisse significative de la consommation s’accompagne d’une préférence accrue pour les produits plus raffinés, prestigieux et onéreux. La tendance affichée est celle d’une montée en gamme : la réjouissance du palais prenant le pas sur l’assurance d’une boisson en quantité. Pour preuve, la facture totale des Français pour leurs achats d’alcool a bondi de trente euros en quatre ans, entre 2008 et 2012, malgré une consommation globale en berne. Ceci devrait se poursuivre avec la hausse des taxes sur les spiritueux, amorcée depuis huit ans.

La Chine rend au Champagne ses lettres de noblesse

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La Chine consomme plus de vin que la France

L’indication géographique « Champagne » est désormais protégée par le gouvernement chinois, protégeant ainsi la fameuse bouteille de la contrefaçon et des usages abusifs. Elle reconnait ainsi le caractère particulier du Champagne, qui trouve son origine dans des conditions naturelles et un savoir-faire bien spécifiques. Fini les mousseux labellisés « champagne » autrefois disponibles dans les supermarchés chinois ! Désormais, le CIVC (Comité interprofessionnel des Vins de Champagne) pourra saisir la justice chinoise en cas d’abus.

Un marché grandissant qu’il fallait protéger

Au cours de ces dernières années, l’exportation de Champagne vers la Chine a connu sa plus belle progression. Plus de 2 millions de bouteilles y ont été expédiées en 2012. La croissance des ventes a augmenté de 51,8% par rapport à l’année précédente, un succès que la Chine devait reconnaître et sauvegarder des usages malveillants. Dans ce pays où la contrefaçon est monnaie courante, on trouve même des sodas, des bougies ou encore des jouets nommés Champagne. Espérons que cette décision du gouvernement chinois remettra de l’ordre dans ce gigantesque malentendu.

Un enjeu international

La Chine est aujourd’hui le cinquième marché du Champagne, hors Union Européenne. Après le cognac, le whisky écossais et les vins de Napa (Etats-Unis), le Champagne devient donc le quatrième grand nom du vin à jouir de la protection chinoise. Cette reconnaissance est également un avertissement envoyé aux Etats-Unis, qui continuent d’abuser de la marque en l’apposant sur 50% de ses mousseux.

Comment le champagne vieillit ?

Le 27 novembre dernier, lors de la manifestation « Paris fête le champagne » qui s’est tenue au restaurant Le Laurent, treize prestigieuses maisons de champagne ont entrepris de réunir plusieurs cuvées de champagne datant des années 1970.

A cette occasion, les spécialistes ont évoqué la manière dont vieillissent les meilleurs champagnes après plusieurs années en bouteille.

champagne
Comment le champagne vieillit

Les caractéristiques d’un vieux champagne

les œnologues reconnaissent un vieux millésime de champagne d’après certains critères. Tout d’abord, un champagne âgé de plusieurs décennies apparaît un peu moins effervescent qu’un millésime récent et ses arômes sont devenus plus expressifs et subtils avec, notamment, des notes de sous-bois mais aussi des saveurs beurrées ou grillées.

En outre, un vieux champagne développe un aspect moelleux, voire même liquoreux, tout en conservant une grande fraîcheur.

Certains millésimes ont même développé de nouvelles qualités en vieillissant. Ainsi, selon le chef de cave Dominique Demarville, les millésimes de 1973 et 1979 se démarquent par leur grande pureté tandis que celui de 1976 se caractérise par un côté charnu très poussé.

Les nouvelles saveurs de la vieillesse

Julie Murez qui œuvre au sein de la maison de champagne Krug n’a de cesse de chanter les louanges des vieux millésimes qui, en sus de voir leurs saveur originelle s’affermir, ont développé de nouveaux arômes au fil du temps.

L’idée est partagée par Antoine Gerbelle qui apprécie particulièrement les notes fruitées et fleuries, teintées d’une saveur mielleuse, d’un champagne Charles Heidsieck de 1973.

Force est de constater, selon l’avis des experts, que les champagnes comptent parmi les vins qui vieillissent le mieux et gagnent du caractère au fil des années.

Bien choisir sa cave à vin

 

Tout amateur d’œnologie rêve de disposer chez lui de sa propre cave à vin.

Savoir conserver son vin et le faire vieillir dans des conditions optimales n’est pas une mince affaire et requiert de connaître certaines caractéristiques qui permettront à tout œnologue et autres amateurs d’acquérir la cave à vin la plus adéquate pour leur collection.

cave à vin
Choisir sa cave à vin

La cave à vin ou de vieillissement est l’option qui s’impose pour tout amateur de vin ne disposant pas d’une cave naturelle chez lui ; autant dire qu’elle est particulièrement utile chez celles et ceux qui vivent en appartement et n’ont pas la possibilité de s’aménager un espace dédié au vin dans leur domicile.

La cave de vieillissement recréé artificiellement les conditions de conservation du vin dans une cave naturelle. La température ambiante est généralement de l’ordre de douze degrés, ce qui permet au vin de vieillir dans les meilleures conditions.

Le marché de la cave à vin s’est grandement développé au cours de ces dernières années et de nombreux fabricants, y compris de grandes marques d’électroménager, produisent ces appareils de plus en plus prisés.

L’offre existante sur ce marché permet à tout œnologue d’obtenir sa propre cave à vin à des tarifs qui tendent vers le bas pour une qualité de produit tout à fait convenable.

Les prix varient en fonction de la capacité d’accueil de nombre de bouteilles, des qualités technologiques de l’appareil, des matériaux de construction de la cave à vin ; il est possible de trouver son bonheur à partir de quelques centaines d’euros pour des appareils comprenant une capacité de trente à cinquante bouteilles.

Les prix peuvent rapidement dépasser le millier d’euros mais cela dépend de plusieurs facteurs car bien faire vieillir son vin requiert quelques qualités essentielles quant à la bonne conservation de ce bien précieux.

Le vin se bonifie avec le temps mais cela implique des conditions de conservation strictes. Le choix de la cave à vin est par conséquent important. Il est conseillé pour cette dernière de remplir les conditions suivantes : s’assurer que la température soit constante et comprise entre douze et quatorze degrés, vérifier qu’il y ait une hygrométrie naturelle comprise entre 75 et 80% (il s’agit du taux d’humidité dans l’air).

Il est par ailleurs important de s’assurer que la cave à vin soit disposée dans un endroit où l’obscurité y est totale, qu’il y ait une absence avérée de vibration et d’odeur. Une aération permanente est requise. Toutes ces conditions doivent être réunies pour vous garantir un meilleur vieillissement du vin.

A ces critères mentionnés, il conviendra d’ajouter qu’il est préférable de choisir une cave à vin disposant d’une porte pleine et non vitrée ; cela permettra au vin de ne pas être atteint par les UV qui le détériorent.

Il est également recommandé d’avoir des parois intérieures métalliques de manière à assurer un taux d’humidité permettant la bonne conservation du vin. Le choix des matériaux et la capacité de la cave à vieillissement sont soumis à la libre appréciation de son futur acquéreur.

La contrefaçon touche aussi le vin

Omniprésente au sein du commerce international, la contrefaçon touche aussi le vin. Si, à l’heure actuelle, seuls les crus les plus prestigieux sont concernés, la plupart des professionnels de la filière vin restent néanmoins sur le qui-vive.

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La contrefaçon touche aussi le vin

 

La contrefaçon des grands vins : un phénomène en plein essor

Les chiffres inhérents à la contrefaçon des vins s’avèrent inquiétants. En effet, les économistes estiment que 20% du volume de vin échangé à travers le monde proviendrait de la contrefaçon. En outre, l’INAO traite environ 300 dossiers par an liés à la contrefaçon des grands crus.

Force est de constater que la contrefaçon des vins apparaît comme un business fort lucratif. Le phénomène, en vogue depuis les vingt dernières années, doit être mis en corrélation avec la croissance économique que connaissent les pays émergents. En effet, les faussaires ont rapidement compris que les classes aisées de ces pays apprécient tout particulièrement les luxueux produits européens tels les grands crus français. Ainsi, plus d’un quart des quelques 300 dossiers traités par l’INAO concernent la contrefaçon des vins en provenance de Chine.

Comment reconnaître les contrefaçons

Laurent Ponsot, spécialiste des contrefaçons de grands crus, relate une escroquerie concernant la cuvée Romane-Conti 1945. Ainsi, il n’existe que deux tonneaux de ce prestigieux cru de Bourgogne. Or, depuis 25 ans, il s’en serait écoulé plus du quintuple, ce qui corrobore les soupçons de contrefaçon.

Comment remédier au problème?

Soucieux de préserver l’authenticité de leurs vins, les vignerons utilisent des étiquettes numérotées mais également des bouteilles gravées. On constate aussi l’utilisation d’internet et de procédés plus high-tech tels que des codes barres infalsifiables ou encore des codes à bulles. Cette dernière technologie, présentée comme infaillible, connaît un réel succès tant au seins de l’Hexagone qu’à l’étranger.

Le vin, un allié contre la dépression ?

La consommation d’alcool est un problème récurrent dans le monde de la santé. Et pourtant, même dans un régime diététique, l’alcool n’est pas définitivement condamné. Est-ce que le vin peut devenir un allié contre la dépression ?

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Le vin bon pour la santé

La consommation d’alcool

A fortes doses, l’alcool n’est pas recommandé pour la santé. Si vous êtes diabétique ou sujet aux maladies cardio-vasculaires, une consommation excessive de boissons alcoolisées ne vous aidera pas à améliorer votre bilan. Et pourtant, sans être interdites, certaines boissons comme le vin peuvent vous aider à affronter les aléas quotidiens de votre vie sans être complètement néfastes sur votre santé. Comme toute consommation de produits alimentaires ou liquides, il ne faut pas tomber dans l’excès, si on ne veut pas de problèmes de santé.

La consommation de vin

Une étude espagnole (publiée le 30 août dans la revue BMC Medicine) a été menée sur une population de 5500 hommes et femmes âgés de 55 à 80 ans. Ces personnes n’avaient pas été détectées pour dépression ou alcoolisme. Au terme de l’étude, il en ressort que les gens qui ont consommés entre deux et sept verres de vin par semaine, étaient moins assujettis à la dépression. Est-ce l’ivresse légère procurée par le vin associée à une alimentation méditerranéenne ?

De nombreuses données ont été prises en compte pour cette étude. Mais le bilan final est que la consommation de vin, avec modération, peut peut-être vous aider à oublier vos soucis du quotidien.