Le vin primeur, une découverte fascinante et délicieuse

Découvrir l’univers du vin primeur est une expérience inoubliable pour les amateurs de vins. Ces vins primeurs, aussi appelés « en primeur », sont des vins qui sont vendus avant d’être mis en bouteille et commercialisés. Ils proviennent généralement de la région de Bordeaux, un terroir mondialement réputé pour ses grands crus classés et ses cépages spécifiques. 

Qu’est-ce que le vin primeur ?

Le vin primeur est un vin jeune issu de terroirs tels que ceux de Bordeaux. Il est commercialisé quelques mois seulement après la fin de la fermentation alcoolique, ce qui signifie qu’il n’a pas encore atteint sa maturité complète. En achetant du vin primeur de Bordeaux, vous investissez dans une part du potentiel futur de ce vin : une fois mis en bouteilles et vieilli, il développera son bouquet et ses qualités gustatives pour atteindre sa pleine expression aromatique.

La dégustation du vin primeur : un art subtil et complexe

Déguster un vin primeur est une expérience unique qui nécessite une certaine expertise. Bien qu’il soit encore jeune et incomplet, le vin primeur offre déjà des indices sur son évolution future et ses qualités gustatives à venir.

Les couleurs et les arômes du vin primeur

Lors de la dégustation d’un vin primeur, on porte une attention particulière aux couleurs et aux arômes. En effet, ces éléments donnent un premier aperçu de l’évolution du vin et de son potentiel. Par exemple, si un vin rouge a une couleur soutenue avec des nuances violettes, cela indique qu’il est encore très jeune et possède une belle intensité aromatique.

Côté arômes, chaque cépage a sa spécificité, mais généralement, les vins primeurs développent des notes fruitées (fraise, groseille ou cerise), florales (violette) ou épicées (poivre, réglisse). Ces arômes seront affinés et enrichis au fil du temps jusqu’à ce que le vin atteigne sa pleine maturité olfactive.

S’accorder avec la jeunesse du vin primeur

On ne peut pas attendre d’un vin primeur qu’il ait les mêmes qualités gustatives qu’un vin ayant déjà vieilli quelques années. Son acidité et ses tanins seront plus présents, ce qui peut surprendre le dégustateur novice. Toutefois, les amateurs aguerris trouveront des indices précieux sur l’évolution future de ce vin en observant sa structure, son équilibre et sa richesse aromatique.

Comment sélectionner un bon vin primeur ?

Plusieurs critères sont à prendre en compte pour choisir un vin primeur :

  • Le terroir : Les vins primeurs expriment avant tout le terroir dont ils sont issus. Choisissez donc des vins provenant d’appellations reconnues telles que Saint-Émilion, Margaux ou Pauillac si vous voulez jouer la carte de la qualité.
  • La réputation du producteur : Favorisez les domaines ayant une bonne réputation parmi les critiques et les amateurs de vin. La notoriété du producteur est souvent un gage de qualité et de sérieux dans l’élaboration du vin.
  • Les notes attribuées aux professionnels : N’hésitez pas à consulter les commentaires des professionnels, qui sont généralement bien informés et ont goûté aux vins primeurs lors des dégustations officielles. 

Plonger dans l’univers envoûtant des vins primeurs, c’est découvrir une tradition séculaire de dégustation et d’investissement pour les amateurs de grands crus. 

De la production d’un bon vin de Bordeaux au coffret vin

L’appellation d’origine contrôlée (AOC) Sauternes est située à 40 km au Sud Est de Bordeaux, juste avant la forêt land aise. Crée en 1936, elle regroupe 5
communes : Preignac, Barsac, Fargues, Bommes, Sauternes sur 2 200 ha. Le vignoble Sauternais représente 2 % de l’ensemble du vignoble bordelais.

Sauternes Barsac AOC prestigieuse en vins liquoreux est le premier producteur de vins blancs doux du bordelais, (près de 50 % de la production). Elle regroupe 250 producteurs et 26 crus classés. Les crus classés sont répartis en un premier cru supérieur, Yquem, 10 premiers crus 15 seconds pouvant être achetés dans de jolies coffret vin.

Les crus classés représentent 45 % de la surface, 70 % du CA mais seulement 30 % de la production.

Pré requis à la production d’un bon vin de Bordeaux

Le pré requis à la production d’un bon vin de bordeaux est l’obtention d’un bon raisin. On cultive la vigne comme dans toutes les zones de production du monde, en vue de produire des raisins de bonne qualité. Pour obtenir ce raisin de qualité on observe et on sélectionne.

Afin de préserver la biodiversité, on a observé les vieux ceps que l’on a conservé. On plante maintenant des ceps provenant des anciennes plantations du vignoble. On raisonne la vendange dès la taille. Le terroir n’est pas gélif,
on se permet donc une taille très courte pour privilégier la concentration des raisins.

Afin de limiter les intrants extérieurs, on multiplie mesures prophylactiques comme l’enherbement, l’épamprage à la main, l’échardage, l’effeuillage à la main.
Dans certaines parcelles on travaille la terre dans d’autres on privilégie un enherbement décompactant. La petite superficie du vignoble permet de réagir rapidement. Une décision peut être mise en œuvre immédiatement.

Le grand paradoxe de Sauternes

Le grand paradoxe de Sauternes est la recherche et le développement, sur un raisin mûr, d’un parasite craint de tout le monde viticole : Le Botrytis cinerea.

Le botrytis cinerea peut provoquer deux types de pourriture : la pourriture noble et la pourriture grise . Dans le cas du Sauternes, c’est la pourriture noble qui est recherchée. C’est l’action de ce champignon sur les raisins qui est à l’origine du caractère liquoreux onctueux, parfumé, des vins de Sauternes.

Ce paradoxe passionnant mais imparfaitement connu reste mal maîtrisé. Pour être bénéfique, l’action du Botrytis cinerea ne doit intervenir que sur des raisins déjà mûrs, non altérés et sans blessures (Blouin et Guimberteau).

Au cours de la maturation, les parois des cellules de la pulpe et de la pellicule s’amincissent et se déstructurent progressivement. La baie perd de sa résistance mécanique. C’est alors que le Botrytis la traverse et s’y développe sans pénétrer à l’intérieur des cellules de la pulpe (Carmenère). Lorsque le Botrytis attaque un raisin, les baies sont parsemées de têtes d’épingle brunes. Puis, ces taches s’étendent jusqu’à recouvrir entièrement la surface du grain. La pellicule est digérée, elle devient encore plus mince, fragile et de couleurbrun violet. On appelle les grains rendus à ce stade, grains « pourris pleins ».

Lorsque l’action de la moisissure est prolongée, le grain apparaît ridé, comme ratatiné. On désigne ces grains sous le terme de grains « rôtis ». Autant que possible ils sont récoltés dans cet état. Le développement de la pourriture noble est surtout caractérisé par une profonde transformation des caractères organoleptiques du raisin, du moût et du vin. Le caractère «rôti» caractérise cette pourriture noble. Ce caractère très spécifique n’apparaît pas en cas de surmaturation par seul passerillage c’est-à-dire sans botrytisation.

Voici donc les méthodes pour obtenir un bon vin de Bordeaux d’appellation d’origine contrôlée (AOC) Sauternes

Jay Z a acheté une marque de champagne

Le célèbre rappeur et mari de Beyoncé, Jay Z, a toujours aimé le champagne. Pour pouvoir en profiter pleinement, il a décidé de racheter une petite marque : Armand de Brignac.
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Le rappeur et le champagne

La cuvée créée en 2006 par Jay Z se nomme « Ace of Spades » (As de Pique). Jay Z a réussi à faire de celle-ci un véritable objet de luxe. Grâce à la publicité faite par le rappeur, notamment dans ses clips, les ventes de la marque française ont littéralement explosé. Jay Z organise régulièrement des soirées dans lesquelles des bouteilles de champagne sont mises en avant.

Le champagne français est également servi dans une salle fréquentée par l’équipe NBA des Brooklyn Nets, salle dont Jay Z est actionnaire. Pour s’offrir une bouteille, un client doit débourser 350 dollars.

On ne connaît pas le montant exact de la transaction mais, Sovereign Brands, propriétaire de la marque a déclaré que le rappeur avait fait une offre qu’on ne pouvait pas refuser. Jay Z devient donc partenaire du groupe américain. Armand de Brignac est le nom d’une marque de vin de champagne produit par la maison Cattier, située près de Reims en Champagne-Ardenne. On le reconnait grâce à ses bouteilles typiques : opaques, en verre, recouvertes d’un as de pique en métal.

Pourtant, ce partenariat a failli ne jamais voir le jour. En effet, au départ, Jay Z s’était tourné vers la marque Roederer. Mais, suite à des propos que la star a jugés « racistes », le rappeur a renié définitivement la marque et a donc préféré racheter la marque Armand de Brignac. Une belle façon pour le rappeur de prouver son amour à la France…

Un moucheron envahi les vignes

Drosophila suzukii est un type de ravageur originaire asiatique qui a été observé pour la première fois dans les vignobles du Sud-Ouest français. Drosophila suzukii Diptera s’attaque à de nombreuses espèces fruitières, mais notamment à des petits fruits rouges est au raisin. C’est sans doute un des impacts négatifs de la mondialisation…

Quels sont les plus gros dégâts de Drosophila suzukii ?

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Un moucheron envahi les vignes

Drosophila suzukii diptera est une espèce invasive de moucherons qui ont la fâcheuse particularité d’infester les fruits qui sont encore sur la plante, avant d’être récoltés. Les femelles de cette espèce de drosophile pondent centaines d’œufs à l’intérieur de ces fruits et, dès leur éclosion, leurs larves s’alimentent de la pulpe, provoquant son oxydation et dégradation. De plus, la blessure causée sur les grappes ou cerises devient un terrain propice pour différentes espèces de champignons.

Peut-on reconnaître facilement Drosophila suzukii ?

La reconnaissance de l’adulte est la seule méthode de confirmation de l’espèce de drosophile suzukii. Même si elle a une apparence très similaire à la drosophile commune, les mâles adultes de cette espèce mesurent entre 2.6 et 3.4 mm et sa reconnaissance se fait surtout grâce aux deux taches noires visibles sur ses ailes. Pour pouvoir identifier une femelle, on doit utiliser une loupe binoculaire et observer les ovipositeurs, les plus gros de leur espèce.

Quelles sont les méthodes de contrôle de Drosophila suzukii ?

Du moins à l’heure actuelle, il n’est pas obligatoire d’introduire la protection de ce type de ravageur. Néanmoins, des mesures prophylactiques simples et tests fondamentaux doivent quand même être mises en place sans délai, comme par exemple le tri manuel des grappes atteintes ou l’effeuillage. Il existe des études sur l’application de la kaolinite pour rendre les grappes moins visibles pour la Drosophila suzukii et le plan de travail de ces experts comporte actuellement un projet pour faire la lumière sur la sensibilité variétale de la vigne à ce nouveau ravageur.

Les viticulteurs touchés en pleines vendanges

Après les violents orages de grêle début août, ce sont les pluies diluviennes qui ravagent le Gard, l’Hérault ou encore l’Aude. En particulier, les viticulteurs subissent de plein fouet ces orages dévastateurs qui interviennent en pleine vendange.

Alors que les récoltes avaient commencé en septembre, il est désormais impossible de poursuivre les vendanges dans les régions sinistrées: les allées sont complètement inondées et impraticables. A cela s’ajoute le fait que certaines vignes ont été limonées en raison des flots de boue endommageant la qualité des grappes de raisin et mettant ainsi en péril les récoltes pour la plupart inachevées.

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Inondations

Ce sont plusieurs milliers d’hectares de vignes que les viticulteurs déplorent suite aux puissantes inondations. Les vignerons décrivent la violence des intempéries et commencent à faire l’état des lieux de l’ampleur des dégâts: des vignes arrachées par les vents importants et la puissance des crues en passant par les installations pour maintenir les vignes droites complètement arrachées, les résultats sont terrifiants.

La négligence de l’entretien des rivières par les pouvoirs publics est notamment dénoncée par les viticulteurs. Ce n’est pas tout, le matériel utilisé par les viticulteurs a lui aussi subi des dégâts comme l’engluement des appareils mécaniques dans la boue ou encore du matériel dégradé en raison des vignes décimées.

Les épisodes de grêle associés aux inondations spectaculaires mettent en danger la qualité du millésime 2014 dans les vignes du Sud-est qui n’ont pu être récoltées pour la plupart qu’à moitié avant de subir ces puissantes intempéries à répétition.

Philippe de Rothschild succède à sa mère

Le décès de Philippine de Rothschild

La célèbre société viticole Baron Philippe de Rothschild, forte de sa réputation à travers le monde, voit sa direction changer suite au décès de sa précédente dirigeante, Philippine de Rothschild, décédée en août dernier.

Suite au décès du Baron de Rothschild en 1988, Philippine avait naturellement pris les rênes de la société de son père, pour maintenir voire développer sa renommée grâce, notamment, à des grands crus tels que le vin Mouton-Rothschild, leur premier grand cru classé 1855.

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Philippe de Rothschild succède à sa mère

Phillipe Sereys de Rothschild: un successeur de choix

La présidente n’aurait donc pas souhaité mieux comme successeur que son aîné, Philippe Sereys de Rothschild, qui est bien loin de débuté en matière de direction d’entreprise. En effet, l’aîné des deux fils de la Baronne de Rothschild et du comédien Jacques Sereys a foulé le sol de la Harvard Business School, dont il est diplômé, avant d’être nommé directeur de différentes entreprises spécialisées dans les hautes technologies, l’énergie et l’environnement.

Celui qui était depuis 2006 le vice-président du conseil de surveillance de la société Baron Philippe de Rothschild S.A. en est désormais le président, depuis le 18 octobre 2014. Commercialisant de grands noms dans le domaine viticole et possédant des domaines en Girond, dans l’Aude, en Californie et au Chili, la société est en perpétuel développement et il va s’en dire que le nouveau directeur suivra le chemin tout tracé de ses prédécesseurs pour poursuivre dans cette voie.

Les récoltes de vins sauvées par l’été indien

 C’est sans surprise que les viticulteurs voient à nouveau leurs cultures sauvées par l’été indien.

Cette période est ensoleillée et radoucie entre le mois de septembre et celui de novembre. Elle favorise une bonne vendange dans les cas où le climat ne s’est pas montré très clément au cours de l’année.

La grande surprise

Cette année, les conditions climatiques n’ont pas été avantageuses pour les viticulteurs français. Heureusement, le soleil de septembre leur a redonné le moral. Ce mois de septembre particulier leur a permis de faire une bonne récolte. Boris Calmette, le président des Vignerons coopérateurs de France avouait d’ailleurs le 28 octobre 2014 que les vignerons ont eu droit à un climat idéal, chaud et sec.

Cependant, il reconnaît que la baisse des récoltes concurrentes a favorisé la prise de la première place par la France dans le domaine. Cette année, la France a produit 45 millions d’hectolitres de vin.

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Les récoltes de vins sauvées par l’été indien

La récolte bordelaise

Il est noté que dans certaines régions de France, les récoltes ont particulièrement été très bonnes. Le vin bordelais a obtenu de satisfaisants résultats comparativement aux années précédentes. Plus de 5 millions d’hectolitres de Bordeaux ont été récoltés cette année.

Les perdants

Dans certaines régions de France, les vignobles ont fait face à de grandes baisses de production. Cette année n’a en effet pas été favorable pour le Languedoc-Roussillon qui a affiché une baisse de 10 %.

La région alsacienne est celle qui n’a produit qu’un million d’hectolitres. Boris Calmette remarque qu’il devient difficile pour les vignobles de garder leurs parts de marché lorsqu’ils n’ont aucun stock. Cependant, ce stock inexistant leur permet d’appliquer de bons prix sur les produits disponibles.

La bourgogne « ensemence » les nuages

Les professionnels de la filière vinicole connaissent bien les parades contre le fléau de la grêle pour limiter l’impact désastreux de ce véritable bombardement céleste sur leurs vignes fragiles. Parmi elles, on compte des moyens de mitigation mécanique (écrans) ou chimique (iodure d’argent). Cette dernière appelée «ensemencement des nuages» pourrait être généralisée si les assureurs voulaient bien faire un geste envers leurs assurés vignerons.

La bourgogne "ensemence" les nuages
La bourgogne « ensemence » les nuages

Un manque à gagner récurrent

Les vignerons français sont entrain de comprendre amèrement ce que signifie changement climatique. Ces dernières années en effet, dans le Bordelais ou en Bourgogne, des averses de grêles dévastatrices et chroniques on effet réduit de plus de moitié les récoltes de raisins dans certains domaines de ces régions aux grands crus. Cette année, ce sont certains grands crus bourguignons qui ont vu de nouveau la destruction par endroits de plus de 50% des récoltes de l’année. Un manque à gagner très important donc pour des vignerons qui recherchent encore la meilleure des solutions pour limiter la casse consécutive à des événements climatiques exceptionnels. La mise en place d’écrans au-dessus des vignes s’avère être une solution lourde à mettre en œuvre et surtout détestable quant à la pollution visuelle qu’elle engendre. Reste la solution à l’iodure d’argent.

L’ensemencement des nuages

L’idée simple et efficace, connue depuis plusieurs décennies, consiste à à pulvériser de fines particules de sel d’iodure d’argent sur les nuages annonciateurs de grêles. Le résultat est spectaculaire, les grêlons ayant une taille fortement réduite à leur arrivée au sol. Les météorologues savent prédire avec de plus en plus d’exactitude une pluie de grêle. Ainsi, en faisant pulvériser au canon à air comprimé de l’iodure d’argent préalablement à une averse de grêle, les vignerons arrivent-ils à minimiser la casse et l’impact de l’averse sur leurs récoltes. Il suffit de disposer des canons à air comprimé et à iodure d’argent couvrant la zone à protéger et procéder à la pulvérisation quand la météo donne l’alerte. L’investissement coûte au vigneron environ 10 euros à l’hectare. Aussi les vignerons comptent-ils aujourd’hui sur les assureurs pour les aider financièrement à équiper leurs propriétés en équipements adéquats. Mais ces derniers attendent encore de vérifier la fiabilité du procédé à l’iodure d’argent avant de faire un geste en faveur des vignerons. Les remboursements des dommages de plus en plus nombreux et conséquents devraient rapidement faire bouger les lignes…

De l’or dans un mousseux halal

Tout peut être halal, il y a les produits de beauté et même des sex-shops adaptés à la foi musulmane, maintenant il existe le mousseux Halal.

C’est l’entreprise de luxe de Dubaï, Lootah Premium Foods qui vient de lancer sur le marché un vin mousseux halal sans alcool. Ce sont des feuilles d’or qui remplacent l’alcool, la valeur alimentaire serait de 24 carats d’or comestible par bouteille.

De l'or dans un mousseux halal
De l’or dans un mousseux halal

Ce mousseux a pour nom Lussory Gold, il est fait à partir d’un vin blanc Espagnol.

L’alcool a pu être retiré par une distillation sous vide mise au point en Allemagne. Ensuite le mousseux a été fait selon les méthodes traditionnelles.
Les feuilles d’or ont été mises une par une dans chaque bouteille. Celles-ci ont un style italien et chaque étiquette est peinte à la main.

Ces bouteilles reviennent à peu près à 100 euros pièce. Elles ne sont distribuées que dans les Emirats arabes et dans des lieux luxueux comme les hôtels cinq étoiles.
Ce mousseux représente un peu le summum de luxe mais répond à une demande pour célébrer les mariages ou des fêtes, il remplace le champagne. Seulement dix mille bouteilles ont été produites.

Lootah Premium Food est une branche du groupe Abdula Lootah Group. Il est implanté à Dubaï depuis 25 ans.
Il a crée aussi trois types de vin comme le rouge qui est issu des vignobles de La Mancha en Espagne. Le vin blanc et le brut sont fabriqués de la même manière, c’est à dire à partir de souches de raisin Airén et Macabéo.