Salon des vignerons indépendants de Lyon: des vins et des hommes

L’édition 2013 du salon des vignerons indépendants de Lyon se tiendra à la halle Tony Garnier du 24 au 28 octobre prochains.

Cette étape lyonnaise sera encore une fois l’occasion pour les petits producteurs de mettre sur un même plan d’intérêt le vin, la vigne et les Hommes qui la travaillent.

foire aux vins
Salon des vignerons

Une affaire de passion et de terroir :

Aller à la rencontre des vignerons indépendants à Lyon, c’est partir en quête des origines du produit fini et comprendre le travail de passionnés, qui vivent pour leur production et gagnent leur vie hors des circuits de distribution classiques, comme si apprécier un vin à sa juste valeur nécessitait d’abord d’appréhender des cultures, des émotions, un savoir faire.

L’homme est il plus important que le produit ? Surement pas mais il le rend meilleur et surtout lui donne une âme, qui échappe souvent au consommateur citadin tributaire de la grande distribution ou – au mieux – de son caviste préféré, qui reste un généraliste du vin.

Concours, références et dégustations :

Le Salon des vignerons indépendants de Lyon rétablira cette vérité et, à la manière d’un salon de l’agriculture, emmènera les amateurs de vins aux bâtisseurs de vins. Cette année encore, le visiteur devra être sélectif pour entrevoir quelques-unes des 5 500 références, bêtes à concours soumises à un panel de 1 200 jurés connaisseurs.

Les 545 vignerons du millésime 2013 en profiteront pour prendre le pouls de leur outil de travail : état et résistance de la vigne, conditions climatiques rencontrées cette année, efficacité des traitements et évolution des cépages…

Dans ce salon qui abrite l’un des concours de vin parmi plus renommés du territoire, les vins traditionnels côtoient les vins bios ou labellisés, car le pari de la qualité ne réside pas sur l’étiquette, mais dans le terroir. Tant qu’il y aura des Hommes…

Salon des vignerons indépendants de Lyon – Du jeudi 24 au lundi 28 octobre 2013 – Horaires d’ouverture :

Jeudi 24 de 15h à 22h
vendredi 25 –samedi 26
Dimanche 27 de 10h à 20h
Lundi 28 octobre de 10h à 18h

L’étiquette de vin : une source riche d’informations !

Vous avez invité des amis à manger à la maison, mais voilà : au supermarché, vous êtes bien en mal de trouver une bouteille de vin qui s’accommodera avec votre coq en sauce.

Bien qu’il soit trop tard pour s’inscrire à des cours d’œnologie, il est quelques connaissances essentielles qui vous permettront de déchiffrer l’étiquette du vin et d’en savoir un peu plus sur son compte.

La CEE et l’Administration française ont défini plusieurs mentions obligatoires dont chaque bouteille doit se revêtir. Celles-ci doivent vous renseigner non seulement sur l’origine du vin, mais également sur ses conditions de production et mise en bouteille.

vin en bouteille
Savoir lire l’étiquette d’une bouteille

Les renseignements spécifiques aux vins d’Appellations d’Origine

Tout d’abord, renseignez-vous sur la catégorie de vin à laquelle vous avez à faire : s’agit-il d’un vin de table (aujourd’hui appelés « vins sans Indication Géographique), d’un vin de pays (ou Vins avec Indication Géographique Protégée), ou d’un vin d’origine contrôlée (AOC) ? Les étiquettes de vin AOC doivent obligatoirement porter le nom de la région de production, bien que celui du cépage ne soit pas censé apparaître, à l’exception de certaines régions telles que l’Alsace, le Jura, la Touraine ou encore la Savoie. A l’inverse, les vins d’origine sont les seuls à pouvoir porter sur leur étiquette le nom de Château, Cru, ou Clos (qu’il s’agisse de vins AOVDQS – Appellation d’origine vin délimité de qualité supérieure – ou d’AOC).

Des renseignements sur la mise en bouteille et les caractéristiques du vin

Chaque bouteille doit bien sûr également indiquer le degré d’alcool, et la contenance. Une autre mention obligatoire pour toutes les catégories de vin est le nom et l’adresse de l’embouteilleur, avec une indication sur le lieu de mise en bouteille si celle-ci a eu lieu sous la surveillance du viticulteur ou du négociant.

Millésime et conseils de services

Le millésime, tout comme le nom des éventuelles récompenses remportées, sont des informations facultatives qui peuvent pourtant faire toute la différence.

Méfiez-vous cependant des mentions « élevé en fûts » ou « vendangés à la main » qui ne sont pas nécessairement des gageures de qualité, dans la mesure où l’information n’est que partielle. Vous pouvez par contre vous inspirer des conseils de plus en plus fréquemment donnés sur la contre-étiquette. On peut y découvrir le type de mets que le vin peut accompagner, de quels cépages il est composé (notamment pour les vins de table), ou encore la température de service conseillée.

Alors, vous avez choisi ?

Il est bien évident qu’il sera moins risqué de s’orienter vers un AOC si vous souhaitez être certain(e) de convaincre vos amis de vos connaissances en œnologie.

N’oubliez pas également de prévoir des boissons sans sulfites ou non alcoolisées si vous avez parmi vos hôtes des femmes enceintes, ou des personnes allergiques aux SO2.

Enfin, si vous souhaitez servir votre vin selon les règles de l’art, et en fonction de ses caractéristiques, vous pouvez tout à fait le mettre en carafe afin de le laisser décanter, s’il a de l’âge, ou tout simplement de l’aérer ou de libérer son parfum s’il s’agit d’un jeune vin un peu corsé.

 

Bientôt du muscadet rouge ?

La France, éternel pays du savoir faire et du travail de la vigne, s’apprête à adopter un nouveau vin. Apparu il y a une quinzaine d’années sur la commune du Landreau au sein du Vignoble nantais, un cépage de muscadet porteur de grains rouges sera commercialisé dans les prochaines années, proposant ainsi du muscadet non pas rouge, mais rosé : « Ce ne sera certainement pas du rouge, tout simplement parce que sa coloration est trop faible pour cela.

muscadet
Un muscadet rouge bientôt dans nos verres ?

Il s’agira plus probablement un rosé ou alors d’un effervescent selon la méthode traditionnelle. Beaucoup de solutions sont envisageables » a annoncé Alain Poulard, le responsable de l’Institut français de la Vigne et du Vin.

Une commercialisation prévue pour 2017

 Après avoir été analysé lors de nombreux tests sanitaires visant à évaluer sa composition et son éventuel dangerosité pour l’organisme, ce nouveau cépage de muscadet est désormais entré dans une dernière phase de validation comme l’explique Alain Poulard : « Le Comité technique permanent des sélections continue les tests sanitaires pendant 3 ans. Ceci afin de pouvoir l’inscrire rapidement au Catalogue national. »

Mais certains vignobles ont déjà pris de l’avance puisque des plants ont été introduits le 10 octobre dans deux domaines, tout d’abord celui de Jean-Claude Malidain situé à Corcoué-sur-Logne et d’autre part celui de Jean-Luc Viaud au Landreau.
Il faudra tout de même attendre encore un peu avant de pouvoir déguster cette nouvelle variété de muscadet, car sa commercialisation finale en cas de validation par le Comité Technique est prévue pour 2017.

La contrefaçon touche aussi le vin

Omniprésente au sein du commerce international, la contrefaçon touche aussi le vin. Si, à l’heure actuelle, seuls les crus les plus prestigieux sont concernés, la plupart des professionnels de la filière vin restent néanmoins sur le qui-vive.

vin
La contrefaçon touche aussi le vin

 

La contrefaçon des grands vins : un phénomène en plein essor

Les chiffres inhérents à la contrefaçon des vins s’avèrent inquiétants. En effet, les économistes estiment que 20% du volume de vin échangé à travers le monde proviendrait de la contrefaçon. En outre, l’INAO traite environ 300 dossiers par an liés à la contrefaçon des grands crus.

Force est de constater que la contrefaçon des vins apparaît comme un business fort lucratif. Le phénomène, en vogue depuis les vingt dernières années, doit être mis en corrélation avec la croissance économique que connaissent les pays émergents. En effet, les faussaires ont rapidement compris que les classes aisées de ces pays apprécient tout particulièrement les luxueux produits européens tels les grands crus français. Ainsi, plus d’un quart des quelques 300 dossiers traités par l’INAO concernent la contrefaçon des vins en provenance de Chine.

Comment reconnaître les contrefaçons

Laurent Ponsot, spécialiste des contrefaçons de grands crus, relate une escroquerie concernant la cuvée Romane-Conti 1945. Ainsi, il n’existe que deux tonneaux de ce prestigieux cru de Bourgogne. Or, depuis 25 ans, il s’en serait écoulé plus du quintuple, ce qui corrobore les soupçons de contrefaçon.

Comment remédier au problème?

Soucieux de préserver l’authenticité de leurs vins, les vignerons utilisent des étiquettes numérotées mais également des bouteilles gravées. On constate aussi l’utilisation d’internet et de procédés plus high-tech tels que des codes barres infalsifiables ou encore des codes à bulles. Cette dernière technologie, présentée comme infaillible, connaît un réel succès tant au seins de l’Hexagone qu’à l’étranger.

Les vendanges ont commencé en Alsace

C’est toujours plusieurs jours avant la date habituelle des vendanges, que les raisins destinés à l’élaboration du crémant d’Alsace sont récoltés, toujours à la main.

Mais tout dépend de la maturité du raisin. Ainsi dans le sud, les vendanges peuvent commencer dès le mois d’août alors que dans le nord, cela peut attendre la saison automnale.

vendanges
Les vendanges démarrent

Cette année, les vendanges pour récolter les raisins du vignoble d’Alsace, qui donnera un vin mousseux très connu, ont commencé dès le 19 septembre. Les autres vendanges se dérouleront après le 30 septembre, voire même en octobre.

L’association des viticulteurs d’Alsace, qui décide des dates de vendange, affirme qu’il est normal que ces vendanges soient tardives cette année du fait de la mauvaise météo qui a régné ce printemps et qui malheureusement a réduit le volume des récoltes.

Cependant, cela devrait produire du vin de qualité. Et à ce propos, les producteurs souhaiteraient voir un réajustement des prix.

De ce fait, les recrutements sont allés bon train dans la région. Les demandes ont afflué car bien évidemment cette activité, certes temporaire, rapporte.

Et c’est bien pour cela que les étudiants sont nombreux à postuler. Ils peuvent, à cette occasion, ramasser un vrai petit pactole qui les aidera à financer leurs études.

Mais ils ne sont pas les seuls, les amateurs de bon vin, et férus d’œnologie espèrent eux aussi pouvoir participer à cette récolte. Bien évidemment seuls ceux en bonne forme physique seront retenus car le travail est fatigant, d’autant plus lorsque la météo s’en mêle, mais l’expérience reste enrichissante.

Un dépôt au fond d’une bouteille est plutôt bon signe…

Quand on prend une bouteille de vin rouge ou de vin blanc, il n’est pas rare de trouver, au fond de la bouteille, un certain dépôt. Le plus souvent, c’est plutôt un signe de qualité et il suffit de décanter le vin pour lui redonner toute sa limpidité avant de le servir.

Bouteille de vin
Dépôt au fond d’une bouteille

D’où vient le dépôt au fond d’une bouteille de vin ?

Le dépôt gêne davantage l’apparence du vin que son goût. Pour certains vins rouges de plus de vingt ans, le dépôt peut être important mais il varie en fonction des crus et des millésimes. Il peut s’agir de tartre provenant des raisins et qui se dépose au fil du temps ou lorsque la température est trop froide. Le plus souvent, ces dépôts sont filtrés lors de la mise en bouteille mais, pour conserver toute la saveur d’un vin, le filtrage ne doit pas être trop important. Le dépôt est donc un phénomène tout à fait normal et naturel qui concerne surtout les vins les plus vieux.

Que faut-il faire ?

Il est recommandé de faire décanter le vin dans une carafe avant de le servir. Le dépôt va retomber au fond et ne tombera pas dans les verres. La décantation permet de séparer les dépôts tout en oxygénant le vin pour qu’il développe ses arômes. On recommande de réaliser cette opération à proximité d’une bougie afin de bien voir le dépôt et d’arrêter le versement du vin dans la carafe au bon moment.
Le dépôt du vieux vin n’est pas forcément à jeter : il peut être étalé sur une tranche de pain et dégusté en tartine.

Les exportations des vins de Bordeaux en progression

L’année 2012-13 (mesurés d’août 2012 à juillet 2013, compte tenu de la saisonnalité de l’activité dépendant de la récolte) a vu les exportations de vins de Bordeaux croître de 1% en volume, un chiffre qui n’a conduit les représentants de la profession à se féliciter de « chiffres jamais atteints ».

Vin bordelais
L’exportation des vins de Bordeaux en hausse

Cette euphorie doit cependant être nuancée au vu des résultats en valeur, qui sont eux en repli de 3 % par rapport à l’année précédente, certes record. Le chiffre de 2,21 milliards d’euros reste conséquent, correspondant par exemple à près du tiers de l’excédent dégager par l’ensemble des cosmétiques, parfums et produits chimiques français !

Le marché chinois, qui était jusque-là largement responsable de la flambée des prix, s’est en effet montré moins friand des vins bordelais ; ce recul a été constaté aussi bien à Hong Kong qu’en Chine Continentale, deux marchés distincts compte tenu du statut de région administrative spéciale de l’ancienne colonie britannique. Cette nouvelle a cependant été accueillie avec philosophie par les producteurs qui soulignent que cela évite une trop grande dépendance vis-à-vis de cet unique marché, potentiellement très versatile compte tenu de son particularisme culturel.

La morosité est aussi de règle pour les exportations à destination de l’Europe, en tassement en raison probablement de l’impact de la situation économique sur le vieux continent.
Les autres marchés extra-européens importants à l’exportation se sont révélés quant à eux mieux orientés, les ventes progressant en volume comme en valeur aux États-Unis, et également en valeur au Japon.

Gérard Depardieu ouvre un bar à vin

Après la résidence belge et le passeport russe, Gérard Depardieu refait parler de lui pour la bonne cause avec l’ouverture d’un bar à vins à Paris.

En s’associant à deux hommes d’affaires chinois, l’acteur français annonce la couleur en visant clairement la clientèle chinoise.

bar à vin
Bar à vin pour touristes chinois

Un bar à vins pour chinois

Gérard Depardieu a ouvert un bar à vins début septembre au 25 rue Réaumur dans le 3ème arrondissement de Paris. L’acteur n’a pas hésiter à payer de sa personne sur ce projet dans lequel il s’est associé à deux hommes d’affaires chinois.

Une photographie en carton pâte de l’acteur visible depuis la vitrine, ainsi qu’un portrait sobrement intitulé en mandarin « Monsieur gros nez », jouent incontestablement sur la notoriété de l’acteur pour attirer une clientèle chinoise très convoitée.

Les deux associés de l’acteur, Monsieur Liu et Monsieur Zhang, ne font pas mystère de leur cible. Ils partent du constat qu’il n’existe pas à Paris de caves ou de bars à vin tenus par des Chinois.

Un large choix de vins

Comme on pouvait s’y attendre, le bar fait la part belle aux vins de Gérard Depardieu. On retrouve ainsi plusieurs vins issus de domaines où l’acteur a investi ces dernières années. Blancs, rouges, vins pétillants, il y en a pour tous les goûts.

Les amateurs se rendront dans la cave pour déguster des grands crus classés comme Château La Fleur-Pétrus 1996, ou encore des Château Lafite Rothschild 1993. Cerise sur le gâteau: les cinq premiers crus classé de 1855 sont également disponibles.

Des vendanges faibles et tardives dans le Bordelais

C’est enfin parti ! Depuis le 16 septembre et malgré le temps peu clément, les sécateurs sont entrés en action dans les vignobles du bordelais.

C’est avec le sauvignon que les vendanges ont commencé. Comme partout, il y a au moins trois semaines de retard suite à un printemps extrêmement pluvieux et froid.

Trois semaines de retard

Les vendanges débutent
Les vendanges débutent

Pour les deux hectares de sauvignon, il faudra compter une semaine de récolte avant de pouvoir passer au sémillon.

Toutefois, bien que l’été fut chaud et sec, les trois semaines perdues au printemps n’ont pu être rattrapées.

Ces dernières années, les bordelais commençaient de vendanger dès la fin août mais cette année, ils sont obligés d’attendre la maturité du raisin.

La floraison fut très difficile en juin en raison des nombreuses pluies et des températures trop basses.

Quant aux raisins rouges, ils vont certainement attendre jusqu’à début octobre avec toujours la crainte du mauvais temps alors que la météo des dernières semaines est tout à fait capitale.

Mais un millésime de bonne qualité

A priori, le millésime 2013 devrait être assez proche de celui de 2008. Rien d’exceptionnel mais de la bonne qualité générale.

Les pertes ont été importantes et le volume final devrait être inférieur de 20 % à une année normale. Cela nous ramène à un volume encore plus bas que celui de 1991 : les responsables ? Les fortes pluies du printemps et la grêle de la fin de l’été.

Le Bordelais n’est malheureusement pas la seule région touchée et la récolte nationale devrait être l’une des plus petites depuis très longtemps alors que 2012 avait déjà été particulièrement faible.

Les 5 règles pour la conservation de son vin

Ce n’est plus un secret, le temps bonifie le vin.

Que vous disposez d’une cave dans votre sous-sol ou d’une armoire cave à vins, il est indispensable de respecter le calme et la stabilité de vos bouteilles afin de leur assurer un bon vieillissement. Pour ce faire, voici 5 règles de base à respecter.

cave à vin
Bien conserver son vin

1. Maintenir le vin à une température stable
Les variations de température perturbent le bon vieillissement du vin. Vous devez donc veiller à maintenir vos bouteilles à une température aux alentours de 12 °C.

2. Éviter la lumière
Dans la mesure du possible, maintenez vos bouteilles de vin dans l’obscurité totale afin d’éviter l’accélération de son vieillissement. Pour vos armoires, préférez donc des vitres traitées anti-UV.

3. Maintenir l’humidité entre 70 % et 80 %
Le taux d’hygrométrie dans votre cave impacte l’état des bouchons des bouteilles. Lorsque le taux d’humidité est trop bas, les bouchons se contractent. Vous pouvez remédier à cette situation en positionnant dans la cave un bac à eau. Cette dernière en s’évaporant va ajuster le taux d’humidité. À l’inverse, lorsque ce taux est trop élevé, les bouchons moisissent.

4. Éviter les odeurs étrangères
Toute odeur étrangère enfermée dans la cave endommagerait le bouquet de vos vins. Vous devez donc veiller à une bonne aération de la cave en permanence. Si votre cave est équipée de filtres à charbon actif, pensez à les changer à bonne date.

5. De la zen attitude
Une fois vos vins rangés dans votre cave, ils doivent vieillir tranquillement loin de toute vibration. Ainsi, autant les bouteilles doivent être stables, autant vous veillerez à ce qu’aucune vibration ne vienne perturber leur repos.